Préface par Jean-Claude Yon
Avant-propos – Pierrot a le droit d’être fier
 
Introduction – La maps : une des pièces manquantes du puzzle de l’histoire de la protection sociale des artistes 
Les différentes organisations collectives des artistes interprètes 
 La pièce manquante du puzzle de l’histoire des organisations collectives 
Une organisation résolument différente des autres
          
 La longue lutte des artistes de café-concert pour la respectabilité artistique et la dignité sociale de leur métier
L’imprévisible réussite de l’Association des artistes dramatiques 
Une adhésion réservée aux théâtres et aux genres distingués
 Grands théâtres, spectacles de curiosités et genres inférieurs 
Du café chantant au café-concert : la professionnalisation des chanteurs 
Beuglants, bouis-bouis et autres établissements de basse catégorie et de prostitution 
Le combat de Charles Joseph Alozar Lorge pour la liberté artistique et la respectabilité du café-concert
 
            La création d’une association de prévoyance des artistes de café-concert
1865 : la création de l’Union des artistes lyriques des cafés-concerts, un premier acte d’insertion sociale 
Jules Pacra, portrait du président fondateur 
21 mars 1881 : le printemps de l’Association de prévoyance des artistes lyriques 
Le parrainage de Victor Hugo 
1890 : la création de la Société de secours mutuels des artistes lyriques 
La création de l’Union syndicale des artistes lyriques 
Mutuelle et syndicat : des chemins qui se séparent progressivement
 
Les maisons de retraite des artistes interprètes : la vie de château pour les anciens
La maison de retraite de Pont-aux-Dames : un château pour les vieux comédiens 
Le combat de Dranem 
La vie de château pour les « chemineaux de la chanson »
 
Le poids d’un héritage
Rester fidèle aux valeurs fondamentales tout en évoluant avec son temps 
Café-concert, music-hall, variétés : la mutuelle accompagne l’évolution des genres artistiques 
1945-1960 : les années de la reconstruction
 Les années 1970 : valoriser l’idée de « famille du spectacle » 
1970-1980 : le poids du château 
Confier la gestion de la maison de retraite à un organisme spécialisé 
Vendre le château sans perdre l’âme de la mutuelle 
Conclusion – L’histoire de la maps : l’histoire d’un entêtement à exister
Postface par Jean-Jacques Hocquard
Inscrire les valeurs fondamentales dans la durée
Le temps des regroupements et de la professionnalisation des mutuelles du spectacle vivant 
Préserver l’identité de mutuelle professionnelle de la culture 
Annexes
La MAPS en image
Bibliographie
Références et crédits photographiques
Index