ajouter au panier
Où l’oeuvre de Guillevic se trouve à la fois écoutée et glosée, à partir d’un centre de gravité qui fait de l’humour une règle de vie et d’écriture.
Guillevic estimait que son humour n’avait pas été assez étudié. « Humour pour tenir », « humour pour aider à vivre », « humour pour filtrer l’horreur »… L’humour dont il s’agit n’est ni une décoration, ni un jeu de l’esprit, c’est un sourire proche de la nature et de la langue parlée, une force comme à l’affût du mystère de notre condition. Une fraternité. Parce qu’il considère que ces présents entretiens sont importants pour la compréhension de son oeuvre, le poète a voulu leur donner comme titre Humour-Terraqué afin de les rattacher au recueil qu’il a le plus longtemps porté en lui.
Introduction
I. Humour et tragique
Des Carnets à Exécutoire (1947)
1. Premiers poèmes, Carnets, Requiem
2. Terraqué
3. Exécutoire
Commentaires
II. Humour politique, traductions
De Gagner (1949) à L’Âge mûr (1955)
1. Gagner, Les Chansons d’Antonin Blond
2. Terre à bonheur, Trente et un sonnets, L’Âge mûr
3. Traductions
Commentaires
III. Humour et sacré
De Carnac (1961) à Du Domaine (1977)
1. Carnac, Sphère
2. Avec, Euclidiennes, Villes
3. Paroi, Encoches, Inclus, Du Domaine
Commentaires
IV. Humour blanc
De Étier (1979) à Art poétique (1989)
1. Étier, Autres, Trouées
2. Fabliettes, Requis, Lexiquer
3. Creusement, Motifs, Qui, Art poétique
Commentaires
V. Humour maintenant
Depuis Le Chant (1990) jusqu’à L’Été (1994)
1. De Le Chant à Impacts
2. Lyriques, Elle, Maintenant
3. L’innocent, Nature épousée, L’Été
Commentaires
Conclusion
Bibliographie
ajouter au panier
Lire avec les oreilles et les pieds, tel est le défi relevé par Littératures francophones et musiques de l’Atlantique noir qui analyse les formes et les rythmes d’écritures artistiques issues de l’expérience commune de la domination occidentale.
La nécessité de nous orienter dans l’espace pour y projeter nos déplacements a donné aux cartes une importance cruciale pour notre existence. Cette impulsion cartographique est ici interrogée par le biais d’aller et retours entre géographie, cartographie et littérature.
Comment appréhender la littérature en se projetant vers les œuvres à créer ? A l’aune de la recherche-création, cet essai prend le parti fort de définir le littéraire de manière prospective, en apportant de solides repères théoriques.
« Abscons », « difficile »… : la lecture de Derrida en rebute plus d’un. Et si cette illisibilité avait un sens ? C’est le défi de ce livre : interpréter les textes doubles du philosophe avec les outils de la rhétorique.
Nous suivre
Un site de l'université Paris 8
