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En quoi la littérature constitue-t-elle un objet de connaissance ? Peut-on considérer qu’elle propose une démarche cognitive spécifique ?
Des textes de philosophes, de psychologues, de scientifiques et de critiques littéraires ont été rassemblés ici autour de ces questions. Ils constituent l’étape inaugurale et réellement interdisciplinaire d’une nouvelle réflexion sur la littérature et la connaissance.
Yves Abrioux
Présentation
Henri Atlan
Créativité de la nature et créativité de l’esprit
Daniel Andler
La stratégie connexionniste et le rôle du contexte
Jacques Leenhardt
Quel statut pour la valeur cognitive de la littérature ?
Ronald Shusterman
Pragmatisme, littérature et connaissance : pseudo statements ou conversation édifiante
Laurent Jenny
Figuralité et communication<
Jean-Michel Palmier
Le rôle de l’image dialectique chez Walter Benjamin et la critique de Theodor Adorno
Alexis Tadié
Philosophie du langage et littérature : how to do things with a hobby-horse
Michel Morel
De la lecture : constitution axiologique de l’acte critique
Nöelle Batt
Cognition, littérature et complexité
Serge Baudet, Guy Denhière et Denis Legros
Connaissances et interprétation du texte
Francisco Varela
Interview
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À partir de textes pour la plupart inédits en français, cet ouvrage présente la pensée et les pratiques de la traduction de Nabokov, leur évolution dans le temps jusqu’à la défense radicale du littéralisme, une position extrême et dérangeante.
L’écopoétique est une réponse à la question de Sarah Kofman en 1983 : Comment s’en sortir ?
Cette discipline critique et narrative tente de dépasser l’apparence insoluble du dérèglement climatique. Que faire (le poïein du terme écopoétique) pour habiter autrement le monde qui est notre maison (le oikos du terme écopoétique) ? En quoi le récit peut-il être le poros (le stratagème) pour sortir de cette situation en apparence sans issue ?
Première véritable étude sur l’approche de l’art par le poète André du Bouchet dont on célèbre le centenaire en 2024.
En six chapitres, le livre veut rendre compte de la singularité de cette approche attentive aux œuvres des contemporains (Giacometti, Hélion, Staël, Tal Coat) comme aux œuvres du passé, celles de Courbet, de Poussin ou de Seghers notamment.
Lire avec les oreilles et les pieds, tel est le défi relevé par Littératures francophones et musiques de l’Atlantique noir qui analyse les formes et les rythmes d’écritures artistiques issues de l’expérience commune de la domination occidentale.
